
67 millions de français veut sa mort !!!!!!
23 janvier 2021 16:43; Act: 23.01.2021 16:45 Print
Deux personnes sont suspectées d’avoir envisagé une attaque contre le président de la République Emmanuel Macron en 2018. (photo: AFP)
Deux nouveaux suspects ont été inculpés vendredi à Paris dans l’enquête sur les «Barjols», un groupe proche de l’extrême-droite identitaire soupçonné d’avoir envisagé une attaque contre Emmanuel Macron en 2018, a appris l’AFP samedi auprès du parquet antiterroriste. Ces deux personnes ont été mises en examen pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle», et laissées libres sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet national antiterroriste (Pnat), a précisé ce dernier.
Les suspects, ainsi que deux autres personnes relâchées sans poursuite à ce stade, avaient été interpellés mercredi dans trois départements de l’est et l’ouest de la France par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), à la demande du juge antiterroriste chargé de l’enquête.
«Au moins un d’entre eux est ancré dans la mouvance d’ultradroite, voire nazie», a expliqué jeudi à l’AFP une source proche de l’enquête. «Pas mal d’armes (...), certaines détenues légalement, d’autres a priori pas» ont également été retrouvées lors de ces interpellations, avait également ajouté cette même source.
Au total, au moins 11 personnes sont désormais mises en examen dans ce dossier, selon un décompte de l’AFP. L’information judiciaire avait été ouverte peu après l’arrestation le 6 novembre 2018 de six sympathisants de l’extrême droite radicale, en contact pour la plupart via une page Facebook identitaire intitulée «Les Barjols».
Les enquêteurs s’étaient décidés à intervenir après avoir appris qu’un des administrateurs du groupe, Jean-Pierre Bouyer, un retraité isérois, s’était déplacé dans l’est de la France où Emmanuel Macron se trouvait pour son périple mémoriel sur le centenaire de la fin de la Grande Guerre. Dans une conversation interceptée par les policiers, ce retraité avait évoqué l’idée de s’en prendre au chef de l’Etat avec un couteau en céramique, non détectable aux contrôles de sécurité.
«Il semble que le président de la République était pour eux une cible potentielle, même si le projet n’était pas abouti», avait indiqué en 2018 Laurent Nuñez, alors secrétaire d’État à l’Intérieur. «C’est un dossier d’opportunité gonflé par les services» qui «ont surinterprété des propos incendiaires de gens révoltés mais qui n’avaient aucune réelle intention de projeter un attentat contre le président», avait déclaré début octobre à l’AFP un avocat de la défense.
(L'essentiel/AFP)
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67 millions de français veut sa mort !!!!!!
Vladimir votre président n'insulte pas à tours de bras sa population que je sache.
Je doute que ce soit des mouvements d’ultra droite
Vladimir votre président n'insulte pas à tours de bras sa population que je sache.
Frank allez aucun veut la mort d'un president meme s'il fera un tres tres mal boulot
Vladimir v. Comme chez vous pourquoi vous etes ici et pas comme chez vous
Heureusement avec 66 millions de procureurs, la justice va aller vite!
Pourquoi arrêter des personnes qui veulent sauver la France?