

il a bien contribué à l'évolution du virus avec sa réunion avec des milliers de pauvres gens ils leurs manquait que ça
08 mars 2021 09:17; Act: 08.03.2021 09:17 Print
Le pape (en blanc) et ses cardinaux ont pris l’avion lundi matin, à Bagdad, pour rentrer au Vatican, au terme d’une visite officielle de trois jours en Irak, une première dans l’histoire de la papauté. (photo: AFP)
Le pape François est parti lundi matin d’Irak, mettant fin à la première visite d’un souverain pontife de l’histoire, sans aucun incident, dans un pays régulièrement secoué par des violences. Depuis vendredi, le pape argentin a sillonné le pays en allant à Bagdad, Mossoul et Qaraqosh, dans le Nord, supplicié par les jihadistes. Il a porté la cause de l’une des plus anciennes communautés chrétiennes mais aussi l’une des plus dispersées dans le monde jusque devant le grand ayatollah Ali Sistani, référence religieuse de la plupart des musulmans chiites.
«L’Irak restera toujours avec moi, dans mon cœur», a lancé dimanche soir, le pape de 84 ans, à l’issue d’une messe devant des milliers de fidèles en liesse dans un stade d’Erbil, au Kurdistan irakien. Le pape François tenait à rencontrer les chrétiens d’Irak - 1% de la population contre 6% il y a 20 ans - et a consacré à ce pays majoritairement musulman son premier déplacement à l’étranger en 15 mois.
En raison du Covid-19, à l’exception de la messe à Erbil, il n’a à chaque fois pu rencontrer que quelques centaines de personnes. Il a toutefois parcouru 1 445 km, la plupart du temps en avion ou en hélicoptère pour survoler plutôt que traverser des zones où se terrent toujours des cellules jihadistes clandestines.
Dans ses adresses au pays, qui s’est déclaré vainqueur du groupe État islamique fin 2017, il a dénoncé «le terrorisme qui abuse de la religion», appelé à la «paix» et à «l’unité» au Moyen-Orient et déploré le départ des chrétiens de la région comme un «dommage incalculable». Il a également participé à une prière œcuménique avec les différentes fois présentes en Irak depuis des millénaires, à Ur, ville natale du patriarche Abraham, père des monothéismes.
(L'essentiel/afp)
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il a bien contribué à l'évolution du virus avec sa réunion avec des milliers de pauvres gens ils leurs manquait que ça
La première visite d'un chef d'Etat
Croyance moyenâgeuse ...
Croyance moyenâgeuse ...
il a bien contribué à l'évolution du virus avec sa réunion avec des milliers de pauvres gens ils leurs manquait que ça
La première visite d'un chef d'Etat
Non.. il y a eu d'autres chef d'état. macron, par exemple