Ecole d'Hôtellerie – «Avec ce métier, on peut faire le tour du monde»

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École d'Hôtellerie«Avec ce métier, on peut faire le tour du monde»

LUXEMBOURG - Le directeur de l'École d'Hôtellerie et de Tourisme du Luxembourg et ses élèves sont les invités de la «Story» de «L'essentiel Radio» toute la semaine.

La séquence du 4 février

Fille de restaurateurs, Chloé, 20 ans, s'est vu transmettre sa passion par ses parents, propriétaires du «Chalet de Remerschen». Un avenir tout tracé pour l'étudiante, de retour de Dubaï, où elle a passé trois mois dans le pavillon luxembourgeois de l'Expo universelle.

Un séjour qui a renforcé son envie de voyager grâce au métier de cuisinier. «C'est aussi ce que j'aime dans ce métier, on peut aller partout. Voyager, c'est mon objectif», lance-t-elle.

La séquence du 3 février

Anja fait partie des élèves de l'École d'Hôtellerie et de Tourisme du Luxembourg qui ont eu la chance de travailler au Schengen Lounge, le restaurant du pavillon luxembourgeois à l'Exposition universelle de Dubaï, où l'école est présente.

Elle raconte son expérience. «C'est très différent de chez nous, les gens nous ont accueillis à bras ouverts», explique la jeune femme de 24 ans. En salle ou en cuisine, elle a coopéré avec des employés du groupe hôtelier Jumeirah, à qui elle a également fait goûter des plats luxembourgeois. «Ils ont aimé», sourit-elle.

« Un morceau que j'ai découvert à Dubaï »

La séquence du 2 février

Dans le troisième épisode de la «Story» consacré cette semaine à l'École d'Hôtellerie et de Tourisme du Luxembourg, Jean-Luc Bertrand reçoit le chef Alain Hostert, enseignant depuis quatorze ans, et ancien élève de l'établissement situé à Diekirch. «J'ai fait toute ma carrière ici», sourit le chef.

Ce dernier admet les difficultés du secteur pour recruter. «On a une certaine image négative du métier, beaucoup d'heures, travailler le soir, les week-ends, on oublie les points positifs. Il ne faut pas avoir peur d'apprendre le métier, on peut voyager, faire plein de rencontres...», ajoute-t-il.

« Une musique relaxante, on a besoin de tranquillité»

La séquence du 1er février

En 2022, l’École d’Hôtellerie et de Tourisme du Luxembourg a signé un accord de partenariat de cinq ans avec la Maison du Grand-Duc, qui va permettre à une cinquantaine d'élèves de participer à des dîners et des réceptions. «C'est une chance pour les étudiants de découvrir un environnement fermé et discret», explique Michel Lanners, directeur d'un établissement qui accueille environ 300 élèves, de toutes les nationalités.

Les enseignants choisiront les élèves qui auront l'opportunité de servir au cours des événements de la Cour. «Pour eux, ce sera une ligne sur le CV qui pourrait ouvrir des portes», ajoute-t-il. En 2012, l'école avait également participé au mariage princier du Grand-Duc héritier Guillaume et de la Comtesse Stéphanie de Lannoy.

« Ma fille a validé ce morceau»

La séquence du 31 janvier

Michel Lanners dirige l'École d'Hôtellerie et de Tourisme du Luxembourg, présente au pavillon luxembourgeois de l'Exposition universelle de Dubaï pendant trois mois. «Une expérience formidable pour nous et pour les élèves qui représentent nos couleurs là-bas», souligne-t-il.

Sur place, entre neuf et douze élèves encadrés par un enseignant contribuent au fonctionnement du Schengen Lounge, le restaurant du pavillon luxembourgeois, dirigé par le chef étoilé Kim Kevin de Dood. «On y sert des spécialités luxembourgeoises, pour convaincre un maximum de personnes de la qualité gastronomique de notre pays».

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