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Des mois de dialogue de sourds
S'il n'y a pas d'accord, ce n'est pas de notre faute, mais à cause de «l'intransigeance» des ministres de l'Éducation, du Travail et de la Fonction publique. La critique émanait hier des syndicats d'instituteurs, qui tentent depuis des mois d'obtenir une revalorisation des carrières, suite aux nouvelles dispositions du projet sur la loi scolaire.
En échange, ils accepteraient que les instituteurs soient présents quatre heures de plus par semaine dans les écoles pour du travail d'organisation. Le gouvernement n'accepte un reclassement que si les instituteurs travaillent aussi plus d'heures avec les élèves.