Rumeurs d'homicideDouze voitures de police débarquent chez P. Diddy
Les forces de l'ordre sont intervenues massivement aux alentours de la propriété du rappeur américain. Ils avaient été appelés pour un homicide.

Diddy n'était pas à son domicile lorsque les policiers sont arrivés. (photo: Mwa/zoj)
Malgré l’arrestation d’un enfant de 12 ans en décembre, le «Swatting» (lire ci-contre) continue de cibler des stars aux États-Unis. Dernière victime en date: Diddy. Un inconnu a appelé les forces de l’ordre, mercredi, en prétendant qu’un meurtre venait d’être commis dans la propriété du rappeur.
Plus de douze voitures de police et deux hélicoptères ont été dépêchés sur place pour constater qu’il s’agissait d’un canular, révèle TMZ.com.
Selon le site américain, le coup de fil à l’origine de l’intervention policière serait l’œuvre du même groupe de hackers que celui qui a dévoilé online des infos privées de célébrités dont nous parlions mercredi. Ces «Hackers-Swatters» auraient également sévi contre Paris Hilton, Kim Kardashian, Chris Brown et Tom Cruise.
(L'essentiel Online/fab)
Le «Swatting» pour les nuls
Cette pratique de plus en plus répandue aux États-Unis consiste à appeler le 911 (police secours) en signalant un larcin inexistant, comme un meurtre ou un cambriolage, dans la demeure d'une star. Le but est d'ameuter le plus d'agents possible, avec, dans l'idéal, le Swat (forces d'interventions spéciales de la police). Et tout cela, évidemment, sans se faire prendre. Ashton Kutcher et Justin Bieber avaient été les victimes d'un «Swatter» de 12 ans, arrêté en décembre 2012.