En ce mois de mai, comment travailler… le moins possible?

C’est le mois qui peut faire souffler un petit vent de panique parmi les responsables de plannings des entreprises. Celui où tout le monde veut profiter des jours fériés pour souffler un peu et faire le pont au maximum.

Les ponts s’enchaînent en effet grâce à un tunnel de jours fériés qui jalonnent ce joli mois de mai. Et en jouant le coup finement, on peut travailler un minimum en dépensant le moins de jours de congé possible d’ici au 31 mai.

Le premier week-end prolongé du mois est déjà passé, avec la Fête du travail pour commencer mai, et la semaine. Mais la série est loin d’être terminée, avec trois jours chômés en plus qui arrivent d’ici la fin du mois.

Ainsi, dès la semaine prochaine, le Luxembourg fêtera l’Europe le mardi 9 mai, un jour férié depuis peu. Poser un lundi de congé permet donc de profiter d’un grand week-end de quatre jours. Y ajouter trois jours du mercredi au vendredi permet de se reposer neuf jours, week-ends compris.

La semaine suivante, rebelote, avec le jeudi de l’Ascension, le 18 mai. Ajoutez-y le vendredi et vous bénéficierez à nouveau d’un tunnel de quatre jours sans travailler. Avec ces deux fériés rapprochés, il suffit d’ailleurs de prendre huit jours de congé pour compléter une quinzaine de repos.

Plus tard dans le mois, le lundi de Pentecôte tombe le 29. Avec un mois à trous comme celui-ci, deux jours de congé permettent donc de se reposer 14 jours, en comptant les samedis et dimanches, sur les 31 du mois. Avec dix jours de congé soigneusement répartis sur le mois, vous pourrez vous échapper du travail 22 jours. De quoi reprendre son souffle avant d’attaquer la dernière ligne droite vers les vacances d’été.