Guerre en Ukraine: Une attaque de hackers pro-russes a bloqué le site de l'Assemblée française

Guerre en UkraineUne attaque de hackers pro-russes a bloqué le site de l'Assemblée française

La Russie a lancé l'assaut sur l'Ukraine, le 24 février 2022, à l'aube. Depuis, les sanctions contre le pays de Poutine se multiplient et les Ukrainiens, résistant tant bien que mal, subissent la guerre. Suivez la situation en direct.

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L'essentiel
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27.03 La Russie a affirmé lundi qu’elle ne changerait pas ses plans prévoyant le déploiement d’armes nucléaires «tactiques» au Bélarus, malgré les nombreuses critiques des pays occidentaux.

27.03 La Russie a affirmé lundi qu’elle ne changerait pas ses plans prévoyant le déploiement d’armes nucléaires «tactiques» au Bélarus, malgré les nombreuses critiques des pays occidentaux.

DPA
26.03 Les États-Unis n'ont «aucune indication» que la Russie ait transféré des armes nucléaires au Bélarus, ni même que le président russe Vladimir Poutine s'apprête à recourir à l'arme nucléaire en Ukraine.

26.03 Les États-Unis n'ont «aucune indication» que la Russie ait transféré des armes nucléaires au Bélarus, ni même que le président russe Vladimir Poutine s'apprête à recourir à l'arme nucléaire en Ukraine.

AFP
25.03 La Russie va déployer des armes nucléaires «tactiques» au Bélarus.

25.03 La Russie va déployer des armes nucléaires «tactiques» au Bélarus.

AFP

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lundi, 27.03.2023
13:43

Une attaque de hackers pro-russes a bloqué le site de l'Assemblée française

Le site internet de l'Assemblée nationale française a été bloqué plusieurs heurs à partir de lundi matin par une attaque revendiquée par le groupe de hackers pro-russes NoName en riposte au soutien de la France à l'Ukraine, ont indiqué à l'AFP des experts du groupe Thales.

Le site de l'Assemblée, qui renvoyait vers une page fixe où il est indiqué qu'il est «actuellement en maintenance», a été la cible d'une attaque par «déni de service» (un nombre très élevé de requêtes jusqu'à saturation, NDLR) par le collectif de hackers pro-russes NoName057(16). Celui-ci a revendiqué cette attaque sur sa chaîne Telegram en riposte au soutien de la France à l'Ukraine, a précisé Ivan Fontarensky, directeur technique de la cyberdéfense chez Thales.

Peu avant 17h, le site de l'Assemblée nationale était à nouveau disponible, malgré quelques lenteurs.

12:35

Zelensky visite la région de Zaporijjia, sur le front Sud

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est affiché lundi dans la région de Zaporijjia, en déplacement «en première ligne» sur le front Sud, quelques jours après s'est être rendu successivement près Bakhmout (est), dans la région de Kharkiv (nord-est) et près de Kherson (sud).

«Région de Zaporijjia. Positions en première ligne. Je suis honoré d'être ici aujourd'hui, aux côtés de nos militaires», a-t-il indiqué sur son compte Telegram, accompagnant son message d'une vidéo dans laquelle on le voit remettre des médailles à des soldats.

11:19

Deux morts et 29 blessés dans un bombardement à Sloviansk

Un bombardement russe a fait au moins deux morts et 29 blessés dans la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, a annoncé lundi le gouverneur régional.

«Il y a deux morts et 29 blessés à Sloviansk, des bâtiments administratifs et des bureaux ont subi des dégâts ainsi que cinq immeubles et sept maisons», a déclaré le gouverneur, Pavlo Kyrylenko, sur Facebook, précisant que les forces russes avaient «frappé le centre de la ville vers 10h30 (09h30 au Luxembourg) avec deux missiles S-300».

10:56

Évacuation des employés de la ville d’Avdiïvka, sur la ligne de front

L’administration de la ville d’Avdiïvka a annoncé lundi l’évacuation des employés municipaux de cette localité située sur le front dans l’est de l’Ukraine et régulièrement bombardée par les forces russes.

«Avdiïvka ressemble de plus en plus à un endroit tiré de films post-apocalyptiques (...) Par conséquent, une décision difficile a été prise d’évacuer (...) les travailleurs municipaux qui ont au moins essayé de maintenir la propreté et la vitalité de la ville», a annoncé Vitaliy Barabash, chef de l’administration militaire locale, sur les réseaux sociaux.

10:51

Armes nucléaires au Bélarus: Moscou ne changera pas ses plans malgré les critiques

La Russie a affirmé lundi qu’elle ne changerait pas ses plans prévoyant le déploiement d’armes nucléaires «tactiques» au Bélarus, malgré les nombreuses critiques des pays occidentaux. «Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie», a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Samedi, le président russe Vladimir Poutine avait annoncé avoir eu l’accord de Minsk pour déployer des armes nucléaires «tactiques» au Bélarus, un pays situé aux portes de l’Union européenne et dirigé depuis 1994 par Alexandre Loukachenko, son allié le plus proche.

Selon le président russe, des préparatifs à ce déploiement doivent commencer dès le mois prochain. Cette annonce a provoqué de sévères critiques de la part des Occidentaux, l’OTAN ayant dénoncé une «rhétorique dangereuse et irresponsable» de la Russie, alors que l’Union européenne a menacé Minsk de nouvelles sanctions si ce déploiement était réalisé.

DPA
10:43

Les chars britanniques bientôt livrés à Kiev après la fin de la formation des soldats

Des soldats ukrainiens ont achevé leur formation au Royaume-Uni pour apprendre à manier les 14 chars Challenger 2 fournis par Londres à l’Ukraine face à l’invasion russe, ouvrant la voie à une livraison prochaine des appareils, a annoncé lundi la Défense britannique.

Leur entraînement avait commencé peu après l’annonce début janvier de la fourniture de ces chars par le Royaume-Uni. «Le Royaume-Uni envoie les chars Challenger 2, qui seront bientôt aux mains des forces armées» ukrainiennes, a indiqué lundi un communiqué du ministère britannique de la Défense. Londres avait évoqué auparavant une livraison en mars.

Les soldats ukrainiens ainsi formés, dont le nombre n’a pas été précisé, rentrent dans leur pays «mieux équipés, mais pas moins en danger», a déclaré le ministre britannique de la Défense Ben Wallace.

AFP
10:40

Sous pression, le CIO discute d'une réintégration des Russes

Pressé de clarifier sa position, le Comité international olympique (CIO) discute mardi d'un retour des Russes et Bélarusses dans les compétitions internationales, une éventualité qui suscite des tensions diplomatiques à l'approche de JO-2024 à Paris, dont les qualifications ont débuté pour certaines disciplines.

Jusqu'à quand l'instance olympique peut-elle tergiverser, elle qui a annoncé dès décembre dernier «explorer des moyens» de ramener les bannis dans le giron du sport mondial, après avoir recommandé leur exclusion fin février 2022 en raison de l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe?

Officiellement, la commission exécutive du CIO, qui tiendra un point de presse à 16h, prévoit simplement de «passer en revue les conclusions et réactions enregistrées à l'issue de plusieurs consultations téléphoniques» avec ses propres membres, les comités nationaux olympiques (CNO), les fédérations internationales (FI) et les représentations des athlètes. Sur les trois points à l'agenda, deux ne font aucun doute: les «sanctions à l'encontre de la Russie et du Bélarus», c'est-à-dire l'interdiction des symboles officiels des deux pays ainsi que des compétitions internationales sur leur sol, seront réaffirmées, tout comme la «solidarité» – notamment financière – avec les sportifs ukrainiens.

AFP
dimanche, 26.03.2023

Poutine pourrait-il utiliser une arme nucléaire? «Aucune indication» pour l'instant

Les États-Unis n'ont «aucune indication» que la Russie ait transféré des armes nucléaires au Bélarus, ni même que le président russe Vladimir Poutine s'apprête à recourir à l'arme nucléaire en Ukraine, a déclaré dimanche un haut responsable américain.

«Nous n'avons aucune indication qu'il ait tenu son engagement ou qu'aucune arme nucléaire n'ait été transférée», a affirmé John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, sur la chaîne CBS, et interrogé sur l'annonce par le président russe que Moscou allait déployer des armes nucléaires tactiques au Bélarus.

AFP
12:53

Armes nucléaires au Bélarus: l'Ukraine veut une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU

L'Ukraine a appelé dimanche à organiser une réunion urgente du Conseil de sécurité de l'ONU et exhorté les Occidentaux et la Chine à mettre fin au «chantage nucléaire» de la Russie, après l'annonce par Vladimir Poutine que Moscou allait déployer des armes nucléaires au Bélarus.

«L'Ukraine attend des actions efficaces pour contrer le chantage nucléaire du Kremlin de la part du Royaume-Uni, de la Chine, des États-Unis et de la France», a indiqué le ministère ukrainien des Affaires étrangères dans un communiqué. «Nous demandons qu'une réunion extraordinaire du Conseil de sécurité des Nations unies soit immédiatement convoquée à cette fin», a-t-il ajouté.

11:29

Berlin dénonce «l'intimidation nucléaire» de Moscou

Le gouvernement allemand a dénoncé dimanche une «nouvelle tentative d'intimidation nucléaire» de la part de la Russie après l'annonce par Vladimir Poutine du déploiement de missiles «tactiques» sur le territoire du Bélarus. «Nous n'allons pas nous laisser dévier de notre cap» par ces menaces, a indiqué à l'AFP un responsable du ministère des Affaires étrangères sous couvert de l'anonymat.

«La comparaison faite par le président Poutine avec les missiles nucléaires de l'OTAN est erronée et ne peut servir de justification», a-t-il ajouté, soulignant aussi que le Bélarus «va à l'encontre» de son engagement à rester un territoire sans armes nucléaires.

Samedi, Vladimir Poutine a annoncé que la Russie allait déployer des armes nucléaires «tactiques» au Bélarus et que dix avions avaient déjà été équipés pour être prêts à utiliser ce genre d'armement. «Il n'y a rien d'inhabituel ici: les États-Unis font cela depuis des décennies. Ils déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés», a déclaré Vladimir Poutine lors d'une interview à la télévision russe.

La Russie «a pris le Bélarus en otage nucléaire», selon Kiev

La Russie a pris le Bélarus en «otage nucléaire» a estimé dimanche Kiev à la suite de l'annonce par le président Vladimir Poutine d'un déploiement d'armes nucléaires «tactiques» sur le territoire de son allié.

«Le Kremlin a pris le Bélarus comme otage nucléaire», a estimé sur Twitter le secrétaire du Conseil de sécurité Oleksiï Danilov, ajoutant que cette décision est un «pas vers la déstabilisation interne du pays».

L'annonce du président russe «maximise le niveau de perception négative et de rejet public de la Russie et de M. Poutine dans la société bélarusse», avance aussi M. Danilov.

samedi, 25.03.2023
17:51

Poutine menace d'utiliser des obus à uranium appauvri si l'Ukraine en recevait des Occidentaux

Le président russe Vladimir Poutine a menacé samedi d'utiliser des obus à uranium appauvri en Ukraine si Kiev devait en recevoir de la part des Occidentaux, comme récemment évoqué par une responsable britannique.

«La Russie, bien sûr, a de quoi répondre. Nous avons, sans exagérer, des centaines de milliers d'obus de ce type. Nous ne les utilisons pas pour le moment», a déclaré M. Poutine lors d'une interview à la télévision russe.

17:49

La Russie va déployer des armes nucléaires «tactiques» au Bélarus

Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires «tactiques» sur le territoire de son allié, le Bélarus, un pays situé aux portes de l'Union européenne.

«Il n'y a rien d'inhabituel ici : les Etats-Unis font cela depuis des décennies. Ils déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés», a déclaré M. Poutine lors d'une interview diffusée à la télévision russe. «Nous avons convenu de faire de même», a-t-il ajouté en disant

07:41

Biden assure que la Chine «n'a pas livré» d'armes à la Russie

«Cela fait maintenant trois mois que j'entends dire que la Chine va fournir des armes importantes à la Russie... Cela ne veut pas dire qu'ils ne le feront pas, mais ils ne l'ont pas encore fait», a dit le président américain lors d'un déplacement chez son voisin canadien.

«Je ne prends pas la Chine à la légère. Je ne prends pas la Russie à la légère», a-t-il ajouté, estimant par ailleurs que les informations faisant part de leur rapprochement avaient probablement été «exagérées».

À l'inverse, Joe Biden a insisté sur les liens renforcés entre Occidentaux. «Si quelque chose s'est passé, c'est que l'Occident s'est considérablement resserré», a-t-il estimé parlant d'une coalition «unie».

AFP

Lors d'une visite du président chinois Xi Jinping à Moscou cette semaine, si le dirigeant chinois a promis son soutien moral et une bouée de sauvetage commerciale, il s'est abstenu de fournir des armes aux soldats russes engagés en Ukraine, ce qui aurait pu entraîner des sanctions occidentales contre son pays.

vendredi, 24.03.2023
17:38

Macron en Chine pour travailler avec Xi «dans le sens d'un retour de la paix», selon l'Élysée

Le président français Emmanuel Macron profitera de sa «visite d'État» en Chine du 5 au 8 avril pour «travailler» avec son homologue chinois Xi Jinping «dans le sens d'un retour de la paix» en Ukraine, a déclaré vendredi l'Elysée.

Le voyage du chef de l'Etat le conduira à Pékin mais aussi à Canton, a annoncé la présidence française, assurant qu'Emmanuel Macron était «attaché au maintien d'un dialogue constant et exigeant avec la Chine».

16:30

Washington sanctionne l'avion présidentiel bélarusse

Les États-Unis ont annoncé vendredi de nouvelles sanctions contre le régime du Bélarus, accusé de réprimer son opposition et de soutenir la guerre «injustifiée» de Moscou en Ukraine, qui visent notamment l'avion du président Alexandre Loukachenko.

Le département du Trésor a «bloqué» le Boeing 737 utilisé par le dirigeant pour des voyages officiels ou privés, ce qui compliquera sa maintenance. Les transactions en dollars liées à l'appareil ou la livraison de pièces détachées sont en effet théoriquement interdites par cette mesure.

Le Trésor a également pris des sanctions contre deux entreprises publiques: BelAZ, qui vend des camions-bennes dans le monde entier, et MAZ, qui fabrique des camions et des autocars.

14:45

L'ONU accuse Ukrainiens et Russes d'«exécutions sommaires» de prisonniers de guerre

L'ONU a accusé vendredi les forces ukrainiennes et russes d'avoir commis des dizaines d'exécutions sommaires de prisonniers de guerre pendant l'invasion russe de l'Ukraine et de mauvais traitements.

«Nous sommes profondément préoccupés par l'exécution sommaire de 25 prisonniers de guerre et personnes hors de combat russes» ainsi que par celle de «15 prisonniers de guerre ukrainiens», a déclaré Matilda Bogner, cheffe de la mission de surveillance des droits de l'homme des Nations Unies en Ukraine.

Selon Mme Bogner, l'ONU a documenté ces exécutions de Russes par les forces armées ukrainiennes, «souvent» perpétrées «immédiatement après la capture sur le champ de bataille».

09:45

Six morts dans des frappes russes dans l'est et le sud

Cinq personnes ont été tuées dans une frappe russe contre la ville de Kostiantynivka, dans la région de Donetsk dans l'est de l'Ukraine, et une sixième est morte dans une autre attaque dans le sud du pays, a annoncé vendredi les autorités.

«Trois femmes et deux hommes sont morts» à Kostiantynivka, située à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Bakhmout, épicentre de combats avec l'armée russe, a indiqué le service d'État pour les Situations d'urgence sur Telegram.

La frappe survenue dans la nuit de jeudi à vendredi a touché un bâtiment abritant un centre d'accueil humanitaire dans cette ville, ont précisé les secours. Les trois femmes dont les corps ont été sortis des débris avaient été évacuées auparavant des localités de Bakhmout, Tchassiv Iar et Opytné, très affectées par les combats, a indiqué le parquet général sur Telegram.

Un projectile d'une batterie antiaérienne russe S-300 a touché l'immeuble du centre d'accueil et un autre est tombé à côté, selon le parquet général. En outre, vendredi matin, une femme a été tuée et quatre autres civils blessés par des tirs d'artillerie dans le village de Bilozerka, dans la région de Kherson (sud), a ajouté le parquet. Des maisons, lignes électriques et gazoducs ont été endommagés par ce bombardement, a-t-il précisé.

08:39

La Russie se moque du prince William

Le prince William était en Pologne jeudi après-midi pour saluer les troupes britanniques et rencontrer des familles ukrainiennes.

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Le prince William était en Pologne jeudi après-midi pour rencontrer des familles ukrainiennes.

Le prince William était en Pologne jeudi après-midi pour rencontrer des familles ukrainiennes.

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Une visite qui n'a pas été du goût de la Russie. La porte-parole du ministère des Affaires étrangères a ainsi d'abord rabaissé le quadragénaire en le qualifiant de «fils de» puis en faisant référence à la fourniture à l'Ukraine par la Grande-Bretagne d'obus à uranium appauvri.

«Je me demande si William Charles-ovich (NDLR: ovich sigifiant fils de en russe) a apporté des munitions à l'uranium appauvri pour ses troupes».

La livraison par Londres à l'Ukraine de telles munitions représenterait une «aggravation sérieuse» du conflit, avait mis en garde mercredi le chef de la diplomatie russe.

08:16

Von der Leyen annonce une conférence sur les enfants enlevés par la Russie

L'UE va organiser en partenariat avec Varsovie et Kiev une conférence afin d'aider à la localisation des enfants enlevés en Ukraine par la Russie et à leur retour dans leur pays, a annoncé jeudi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

«C'est un rappel horrible des périodes les plus sombres de notre histoire, les déportations d'enfants qui se passent là-bas. C'est un crime de guerre, a déclaré la responsable allemande à l'issue d'un sommet à Bruxelles. «Nous savons que 16.200 enfants ont été déportés, seulement 300 sont revenus depuis», a-t-elle poursuivi lors d'une conférence de presse.

Elle a ajouté que «ces actions criminelles justifient complètement les mandats d'arrêt émis par la Cour pénale internationale» le 17 mars contre le président russe Vladimir Poutine et la commissaire présidentielle russe aux droits de l'enfant Maria Lvova-Belova pour «déportation illégale» d'enfants ukrainiens lors de l'invasion russe.