Affaire Nabilla«Il essayait de la frapper, elle est tombée par terre»
Le réceptionniste d'un hôtel dans lequel Nabilla et Thomas ont séjourné, raconte la violente dispute à laquelle il a assisté.

Depuis l'arrestation de Nabilla il y a une semaine, pas une seule journée n'est passée sans que des informations sortent dans la presse sur la relation de la starlette et de son fiancé Thomas. Le quotidien Midi Libre a recueilli le témoignage du réceptionniste d'un hôtel près de Montpellier. Il raconte avoir assisté à une violente scène de dispute en janvier dernier, lorsque le couple était venu pour une prestation dans une boîte de nuit.
«Il était environ 15h, je venais de prendre mon service, explique Thierry. J'ai entendu des cris, du bruit. Nabilla et son compagnon sont apparus, très très en colère, ils s'échangeaient des gros mots en tous genres». Toutefois, l'agression n'est pas restée que verbale puisque le jeune homme s'en serait pris physiquement à la bimbo. «Il essayait de la frapper, elle est tombée par terre devant le bar. Il lui a arraché une mèche de cheveux en lui attrapant ses lunettes avant de les écraser. Je suis intervenu pour les séparer. Il m'a dit: "Toi, dégage"».
Rumeurs sur des scènes tournées mais censurées
Après l'intervention de plusieurs personnes, le couple est reparti pour l'aéroport. Malgré les dégâts causés dans la chambre, la patronne n'a pas jugé utile de porter plainte et a envoyé la facture au boss de la boîte de nuit qui avait engagé Thomas et Nabilla, qui lui-même l'a fait suivre à l'ancien manager du couple.
Depuis jeudi soir, des rumeurs courent sur des images de NRJ12 sur lesquelles on verrait le fiancé de la starlette s'en prendre à elle. Selon Closer, «les équipes qui ont travaillé sur la saison 3 et 4 se rappellent de scènes censurées où on leur a demandé d'arrêter de filmer, comme ce moment où Thomas sort d'un ascenseur, tirant Nabilla par les cheveux».
Contactée par le site de Jean-Marc Morandini, la production de «Allo Nabilla» dément catégoriquement ces informations. «Nous n'avons pas été confrontés à ce type de violence durant le tournage», a-t-elle affirmé. Elle se garde d'ailleurs le droit «d'agir en justice contre les auteurs de ce type d'affirmations sans fondement et préjudiciable à ses intérêts».
(L'essentiel)