Tourisme: Le Luxembourg se lance dans le camping glamour

Publié

TourismeLe Luxembourg se lance dans le camping glamour

LUXEMBOURG – Le ministère du Tourisme a acquis les plans d’une «glamping cabin» qu’il entend bien essaimer à travers le pays.

Séverine Goffin
par
Séverine Goffin
1 / 6
«Pour créer notre hébergement, nous nous sommes inspirés des châteaux qui offrent une vue dégagée sur les magnifiques paysages du Grand-Duché», relate l’architecte Sahar Azari.

«Pour créer notre hébergement, nous nous sommes inspirés des châteaux qui offrent une vue dégagée sur les magnifiques paysages du Grand-Duché», relate l’architecte Sahar Azari.

Saharchitects
on bureau, Saharchitects, a gagné mardi, avec son projet Tiermchen, le concours «Glamping cabins», organisé par la Direction générale du tourisme et l’OAI (Ordre des architectes et ingénieurs-conseils).

on bureau, Saharchitects, a gagné mardi, avec son projet Tiermchen, le concours «Glamping cabins», organisé par la Direction générale du tourisme et l’OAI (Ordre des architectes et ingénieurs-conseils).

Saharchitects
Contraction de glamour et camping, le glamping est une tendance de fond sur laquelle le Luxembourg ne voulait pas faire l’impasse.

Contraction de glamour et camping, le glamping est une tendance de fond sur laquelle le Luxembourg ne voulait pas faire l’impasse.

Saharchitects

«Pour créer notre hébergement, nous nous sommes inspirés des châteaux qui offrent une vue dégagée sur les magnifiques paysages du Grand-Duché», relate l’architecte Sahar Azari.

Son bureau, Saharchitects, a gagné mardi, avec son projet Tiermchen, le concours «Glamping cabins», organisé par la Direction générale du tourisme et l’OAI (Ordre des architectes et ingénieurs-conseils). Contraction de glamour et camping, le glamping est une tendance de fond sur laquelle le Luxembourg ne voulait pas faire l’impasse.

«L’idée était de créer une cabine pouvant être installée à travers le pays pour pallier un manque d’hébergements touristiques en milieu rural, dit Lex Delles, ministre du Tourisme. À travers ce concours, le ministère a acquis les droits d’auteur sur les plans qui seront mis à disposition des acteurs voulant la construire».

Clins d'œil au patrimoine

Le Tiermchen est fait «de bois pour rappeler l’Éislek, et d’acier, pour la Minett. Et il est composé de modules pour pouvoir en changer la taille. On l’a rendu le plus autonome possible avec un impact moindre sur l’environnement, grâce à la récupération de pluie et des panneaux photovoltaïques», détaille Sahar Azari.

Le coût de construction du Tiermchen pour deux avoisinera les 87 000 euros et celui pour quatre, les 132 000, en partie subventionnables. Les 26 projets ayant concouru sont à voir à l’OAI.

Ton opinion

13 commentaires