Festival au Luxembourg – Les temps forts du Rock-A-Field

Muse

Quel plus beau cadeau pouvaient offrir les organisateurs du festival aux fans de rock? Avec Muse, c’est l’un des poids lourds du rock qui débarque au Grand-Duché. Qui plus est avec de nouvelles munitions, puisque le trio emmené par Matt Bellamy vient de sortir «Drones», un septième opus en forme de retour au rock. La tournée mondiale des Britanniques fait étape à Roeser. Immanquable pour tous les fans.

Rise Against

De l’underground aux sommets des charts, Rise Against a parcouru du chemin en quinze ans de carrière. Sans rien perdre de sa combativité et de sa rage. Ni de son intégrité. Car après deux albums parus sur le label indé Fat Wreck Chords, le groupe de Chicago a signé sur une major, ce qui lui a permis de répandre son mélange de punk et de hardcore à travers la planète.

Bastille

Malgré son nom, Bastille n’est pas un groupe originaire de la capitale française. Le projet solo de Dan Smith s’est, dès 2010, transformé en groupe. Un groupe qui offre une pop grand format, aux envolées épiques et synthétiques. «Bad Blood», le premier album de Bastille, groupe phénomène, s’est hissé en tête des charts britanniques, s’écoulant à deux millions d’exemplaires.

Eagles of Death Metal

«Le groupe le plus cool du monde». C’est ainsi que l’on surnomme parfois Eagles of Death Metal. Il faut dire que Jesse Hughes et Joss Homme incarnent mieux que personne l’esprit du rock’n’roll. Entre garage, hard et stoner-rock, les Américains savent mettre le feu à la scène. Les fans auront sûrement le plaisir de découvrir de nouveaux titres, le prochain album, «Zipper Down», arrivant début octobre.

Skip The Use

Après Shaka Ponk, l’an dernier, le public luxembourgeois va découvrir un autre groupe français explosif sur scène: Skip The Use. Les Lillois appartiennent également à cette nouvelle vague du rock «made in France», qui remplit les salles, après avoir fait ses gammes dans l’ombre. Avec son cocktail de rock, de pop, d’électro, de funk, de ska et de reggae, le groupe, emmené par Mat Bastard, souvent survolté, envoie sur scène une fusion volcanique.

(Cédric Botzung/L'essentiel)