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Scarlett ne peut pas toujours créer la surprise
C'était quasiment un sans-faute qu'elle nous offrait avec «Wherever I Lay My Head» (même si le mérite revient essentiellement à Tom Waits et à Dave Sitek).
Puis, Scarlett Johansson a trouvé bon de nous surprendre avec la réédition d'un album datant de 2006, vendu comme son nouveau bébé. «Break Up» porte bien son nom, car effectivement, on est forcé de constater qu'on n'accroche plus vraiment avec ces bluesettes mimi, où un coup c'est: «je t'aime», un autre: «je ne t'aime plus», en alternance. Plombant.