ThreadsLe concurrent de X (ex-Twitter) déploie une option attendue
La plateforme Threads du groupe Meta, maison mère d’Instagram, a commencé à tester la possibilité d’effectuer des recherches par mots-clés.
L’application Threads a été lancée avec succès début juillet.
Après avoir lancé sa version web, la semaine dernière, la plateforme Threads du groupe Meta a commencé à déployer une fonctionnalité réclamée depuis longtemps par les utilisateurs: la recherche par mots-clés. Cette nouveauté doit lui permettre de mieux concurrencer le réseau X (anciennement baptisé Twitter) d’Elon Musk en comblant l’absence de certaines options. C’est ce qu’a annoncé dans un thread (NDLR: publication sur le réseau Threads), Mark Zuckerberg en personne.
«Réjouissez-vous – La recherche arrive sur Threads», a écrit le patron du groupe Meta, maison mère de Facebook et Instagram, en partageant un gif de l’acteur Vin Diesel de la série de films d’action «Fast and Furious» disant «Je parie que vous allez apprécier».
En test dans deux pays
Jusqu’ici, la fonction de recherche sur la plateforme Threads ne servait qu’à identifier des comptes d’utilisateurs. La nouvelle possibilité de recherche par mots-clés est pour le moment en test en Australie et en Nouvelle-Zélande. Meta prévoit de la déployer prochainement à d’autres pays anglophones.
«Nous écoutons activement les commentaires de la communauté et travaillons sur de nouvelles fonctionnalités pour améliorer l’expérience de recherche», a fait savoir le groupe dans un communiqué adressé au site spécialisé TechCrunch. Adam Mosseri, le dirigeant d’Instagram (réseau servant à se connecter à la plateforme Threads), a de son côté fait savoir que la plateforme travaillait pour prendre en charge davantage de langues.
Lancée début juillet, l’application Threads a connu un fort engouement en dépassant les 100 millions d’utilisateurs après seulement une semaine, avant de connaître une baisse de son utilisation. À noter que ce nouveau réseau social n’est actuellement pas disponible dans l’Union européenne, car il ne respecte pas encore la législation européenne en matière de protection des données.